URGENT Jordan Bardella : après sa défaite, il renonce à…
Dimanche 7 juillet, Jordan Bardella, président du RN, a critiqué l’alliance entre le NFP et la majorité, la qualifiant d’alliance du déshonneur.
UN SCORE EN DEMI-TEINTE POUR LE RASSEMBLEMENT NATIONAL
Même s’il n’a pas obtenu la majorité absolue tant désirée, le Rassemblement National a tout de même réussi à obtenir entre 134 et 152 députés à l’Assemblée nationale suite aux résultats des élections législatives.
JORDAN BARDELLA NE SERA PAS NOMMÉ PREMIER MINISTRE
Une belle augmentation puisque le parti présidé par Jordan Bardella avait obtenu 89 sièges en 2022. Un score insuffisant toutefois pour permettre à Jordan Bardella d’être nommé Premier ministre par le président Emmanuel Macron.
UN PREMIER MINISTRE DE GAUCHE ?
Ce poste sera peut-être réservé à un membre de l’autre bloc, le Nouveau Front Populaire, crédité de 171 à 178 députés, contre 152 à 163 pour le camp présidentiel.
UNE GRANDE DÉCEPTION POUR LES ÉLECTEURS DU RN
La déception est donc grande chez les militants et les cadres du Rassemblement National. Jordan Bardella a tenu à remercier tous les candidats du parti qui se sont mobilisés dans les circonscriptions lors de ces élections législatives anticipées.
JORDAN BARDELLA DÉNONCE “L’ALLIANCE DU DÉSHONNEUR”
Il salue aussi “la percée la plus importante de toute son histoire” et dénonce “l’alliance du déshonneur” entre les partis de gauche (NFP) et la majorité présidentielle (Ensemble).
“UN VIEUX MONDE EST TOMBÉ”
Pour son président, “Le Rassemblement national incarne plus que jamais la seule alternance”. Il assure que son parti ne ferait jamais d’alliance contre-nature, peu importe le type de scrutin. “Ce soir, tout commence, un vieux monde est tombé, rien ne peut arrêter un peuple qui s’est remis à espérer” a-t-il ajouté.
JORDAN BARDELLA TIENT À RASSURER
Alors qu’il se voyait déjà Premier ministre suite aux résultats du premier tour, Jordan Bardella a tenu à rassurer lors de son discours le dimanche 7 juillet au soir.
TROIS BLOCS À L’ASSEMBLÉE NATIONALE
Il a affirmé que “le Rassemblement national allait amplifier son travail à l’Assemblée nationale”. Trois blocs relativement égaux en nombre de sièges se sont formés à l’Assemblée nationale. À gauche, le Nouveau Front Populaire, alliance de nombreux partis de gauche comme La France Insoumise, le Parti Socialiste, le Parti Communiste Français ou encore le Nouveau Parti Anticapitaliste.
DE NOUVELLES ALLIANCES
Au centre, la majorité présidentielle Ensemble, formée notamment des partis Renaissance, Horizons et du Mouvement démocrate. À droite, le Rassemblement National et ses alliés LR.
VERS UN BLOCAGE DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE ?
Jordan Bardella comme Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, ont tous les deux exprimé leur inquiétude quant au blocage de l’Assemblée nationale. Une période “d’incertitude et d’instabilité” est à craindre selon eux.
“LA MARÉE MONTE”
Marine Le Pen, l’une des personnalités politiques préférées des Français, s’est aussi exprimée sur TF1 suite aux résultats du scrutin : “La marée monte. Elle n’est pas montée assez haut cette fois-ci, mais elle continue à monter et, par conséquent, notre victoire n’est que différée. J’ai trop d’expérience pour être déçue par un résultat où nous doublons notre nombre de députés”.
LE RN DEVIENT LE PREMIER PARTI À L’ASSEMBLÉE NATIONALE
Et de fait, malgré leur score décevant si l’on se fie aux derniers sondages, le RN devient le parti ayant le plus de sièges à l’Assemblée nationale.
Ça y est, les résultats du second tour des élections législatives sont tombés. Le Rassemblement National arrive troisième du scrutin. Son président, Jordan Bardella, a pris la parole lors de la soirée du dimanche 7 juillet. Il a fustigé l’alliance entre le Nouveau Front Populaire et la majorité présidentielle Ensemble, qui priverait les Français d’un réel changement dans la politique de gouvernement.
JORDAN BARDELLA DÉNONCE « L’ALLIANCE DU DÉSHONNEUR »
Même s’il n’a pas obtenu la majorité absolue tant désirée, le Rassemblement National a tout de même réussi à obtenir entre 134 et 152 députés à l’Assemblée nationale suite aux résultats des élections législatives. Une belle augmentation puisque le parti présidé par Jordan Bardella avait obtenu 89 sièges en 2022. Un score insuffisant toutefois pour permettre à Jordan Bardella d’être nommé Premier ministre par le président Emmanuel Macron. Ce poste sera peut-être réservé à un membre de l’autre bloc, le Nouveau Front Populaire, crédité de 171 à 178 députés, contre 152 à 163 pour le camp présidentiel.
La déception est donc grande chez les militants et les cadres du Rassemblement National. Jordan Bardella a tenu à remercier tous les candidats du parti qui se sont mobilisés dans les circonscriptions lors de ces élections législatives anticipées. Il salue aussi « la percée la plus importante de toute son histoire » et dénonce « l’alliance du déshonneur » entre les partis de gauche (NFP) et la majorité présidentielle (Ensemble). Pour son président, « Le Rassemblement national incarne plus que jamais la seule alternance ». Il assure que son parti ne ferait jamais d’alliance contre-nature, peu importe le type de scrutin. « Ce soir, tout commence, un vieux monde est tombé, rien ne peut arrêter un peuple qui s’est remis à espérer » a-t-il ajouté.
VERS UN BLOCAGE DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE ?
Alors qu’il se voyait déjà Premier ministre suite aux résultats du premier tour, Jordan Bardella a tenu à rassurer lors de son discours le dimanche 7 juillet au soir. Il a affirmé que « le Rassemblement national allait amplifier son travail à l’Assemblée nationale ». Trois blocs relativement égaux en nombre de sièges se sont formés à l’Assemblée nationale. À gauche, le Nouveau Front Populaire, alliance de nombreux partis de gauche comme La France Insoumise, le Parti Socialiste, le Parti Communiste Français ou encore le Nouveau Parti Anticapitaliste. Au centre, la majorité présidentielle Ensemble, formée notamment des partis Renaissance, Horizons et du Mouvement démocrate. À droite, le Rassemblement National et ses alliés LR.
Jordan Bardella comme Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, ont tous les deux exprimé leur inquiétude quant au blocage de l’Assemblée nationale. Une période « d’incertitude et d’instabilité » est à craindre selon eux. Marine Le Pen, l’une des personnalités politiques préférées des Français, s’est aussi exprimée sur TF1 suite aux résultats du scrutin : « La marée monte. Elle n’est pas montée assez haut cette fois-ci, mais elle continue à monter et, par conséquent, notre victoire n’est que différée. J’ai trop d’expérience pour être déçue par un résultat où nous doublons notre nombre de députés ». Et de fait, malgré leur score décevant si l’on se fie aux derniers sondages, le RN devient le parti ayant le plus de sièges à l’Assemblée nationale.